Les céréales du petit-déjeuner sont fabriquées par un processus appelé extrusion. Les grains sont mélangés ou écrasés avec de l’eau pour former une bouillie, puis expulsés d’un trou à haute température et haute pression. La forme du trou détermine la forme du produit final.
L’extrusion est un processus d’une brutalité extrême envers les céréales.
L’industrie a convaincu la FDA que les grains extrudés à haute température et haute pression ne sont pas différents des grains non extrudés et s’est arrangée pour s’assurer qu’aucune étude sur les effets des aliments extrudés sur les humains ou les animaux ne soit publiée. Cependant, deux études animales non publiées concluent que les grains extrudés sont toxiques, en particulier pour le système nerveux.
Une étude a été décrite par Paul Stitt dans son livre « Fighting the Food Giants » : Stitt travaillait pour une entreprise céréalière. Il trouva cette étude cachée dans un classeur:
Quatre groupes de rats reçurent des régimes spéciaux.
Un groupe reçut du blé entier nature, de l’eau et des vitamines.
Un autre groupe reçut du blé soufflé (extrudé), de l’eau et la même solution nutritive.
Un troisième groupe reçut de l’eau et du sucre blanc.
Un quatrième ne reçut que de l’eau et des vitamines.
Les rats qui reçurent le blé entier vécurent plus d’un an. Les rats qui ne reçurent que de l’eau et des vitamines vécurent environ huit semaines, et ceux nourris avec du sucre blanc et de l’eau vécurent pendant un mois. Les rats ayant reçu des vitamines, de l’eau et le blé soufflé à volonté moururent en deux semaines.
Ces résultats suggèrent qu’il y a quelque chose de réellement toxique dans le blé soufflé lui-même. Stitt écrivit : « Les protéines sont très similaires à certaines toxines dans leur structure moléculaire, et le processus de soufflage consistant à mettre le grain sous une pression de quinze cents livres par pouce carré puis à le relâcher peut produire des changements chimiques qui transforment un grain nutritif en une substance toxique. «
L’autre étude, également non publiée mais décrite par téléphone à Sally Fallon Morell par la chercheuse Loren Zanier, a été réalisée en 1960 par des chercheurs de l’Université du Michigan à Ann Arbor.
Dix-huit rats furent divisés en trois groupes.
Un groupe reçut des cornflakes et de l’eau.
Un deuxième groupe reçut la boîte en carton contenant les cornflakes et de l’eau.
Le groupe témoin reçut de la nourriture pour rats et de l’eau.
Les rats du groupe témoin restèrent en bonne santé tout au long de l’expérience et vécurent plus d’un an. Les rats recevant la boîte devinrent léthargiques et moururent finalement de malnutrition. Les rats recevant des cornflakes et de l’eau moururent avant les rats qui avaient reçu la boîte en carton– le dernier rat cornflakes est mort le jour où le premier rat de la boîte en carton est mort.
Avant leur mort, les rats cornflakes développèrent un comportement schizophrénique, firent des crises, se mordaient et ils eurent finalement des convulsions. L’autopsie révéla un dysfonctionnement du pancréas, du foie et des reins et une dégénérescence des nerfs de la colonne vertébrale – tous ces symptômes étant des symptômes de « choc insulinique ».
La conclusion surprenante de cette étude est qu’il y a plus de nutrition dans la boîte de céréales pour petit-déjeuner que dans les céréales elles-mêmes.
Des millions d’enfants commencent leur journée avec un bol de céréales extrudées pour le petit-déjeuner. Les fragments de protéines toxiques dans ces céréales expliquent-ils pourquoi tant de nos enfants n’arrivent pas se concentrer à l’école ?
Bien qu’il n’y ait pas d’études publiées sur les effets des céréales pour petit-déjeuner sur la santé des humains ou des animaux, il existe une étude publiée qui a examiné le processus d’extrusion des protéines dans les céréales (Cereal Chemistry. American Association of Cereal Chemists. Mar/Avr 1998 V 75 (2) 217-221).
L’étude s’est penchée sur les zéines (protéines de céréales) qui sont situées dans des organites sphériques appelés corps protéiques, trouvés dans le maïs. Les chercheurs ont découvert que lors de l’extrusion, les corps protéiques sont complètement perturbés et les zéines dispersées. Les résultats suggèrent que les zéines dans les cornflakes ne se limitent pas à des corps protéiques rigides, mais peuvent interagir les unes avec les autres et avec d’autres composants du système, formant de nouveaux composés étrangers au corps humain. Le processus d’extrusion décompose les organites et disperse les protéines, qui deviennent alors toxiques. Lorsque les protéines sont perturbées de cette manière, elles peuvent devenir toxiques pour le système nerveux, comme l’indique l’expérience des cornflakes.
A savoir que les magasins bios vendent également des céréales extrudées. Ces céréales sont fabriquées par le même procédé, et souvent dans les mêmes usines, que les céréales vendues au supermarché. Ces céréales de petit déjeuner sont normalement faites avec des céréales biologiques. Les céréales biologiques contiennent plus de protéines que les céréales non biologiques. Ce qui signifie que ces céréales bios que l’on pense meilleures pour notre santé contiennent probablement PLUS de fragments de protéines toxiques que les céréales de supermarché.
Tout produit à base de céréales soufflées est fabriqué par ce processus d’extrusion et ceci inclut les galette de riz, les galettes de maïs ou encore le fameux Pain des Fleurs qui ont pourtant une aura santé…
Comme d’habitude, ma conclusion reste toujours la même: privilégiez une alimentation à la Weston Price, une alimentation naturelle à base d’aliments entiers non transformés et cuisinez vos repas chez vous.
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